•   borne cistercienneLes bornes cisterciennes de St Aubin Château Neuf (Yonne - Bourgogne)

    Une soixantaine de bornes jalonnaient autrefois le périmètre de la paroisse de Saint-Aubin Château Neuf dans l'Yonne (89), qui porte aujourd'hui le nom du Val d'Ocre ; bornage singulier et unique en son genre dans la région!
    C'est un vestige du passé très précieux.

     Qui a implanté ces bornes?

    L’Histoire nous révèle qu'elles ont été implantées au XII ème siècle par des moines cisterciens de l'Abbaye de Fontaine-Jean (à Saint-Maurice sur Aveyron dans le Loiret).
    (Voir texte en fin de page)
    Borne cistercienne

     

     


    Combien en reste-t-il?

    Une bonne quarantaine de ces bornes a résisté aux événements de près de neuf siècles : guerres, révolution, et plus récemment la modernisation et le remembrement qui ont effacé bien des traces du passé.

    Quelques bornes cisterciennes sont présentées sur cette vidéo que nous avons faite en août 2021 :

    Deux de ces bornes cisterciennes sont présentées sur cette vidéo, du point de vue de la géobiologie, ainsi que le menhir dit 'Pierrefite' (89) : les bornes n°16 et n°22

    On peut les découvrir dans les champs, le long des sentiers, dans les forêts, ou en bord de ruisseaux.

    Voici la carte qui les présente, sur le périmètre de la commune (points rouges numérotés) cliquer pour voir la carte détaillée

     carte des bornes cisterciennes

    Borne cistercienne Qu'ont-elles de particulier?

    Ce sont de belles pierres en grès, la plupart numérotées et gravées de croix sur trois faces.

    A première vue on pourrait penser qu'il s'agit là d'un bornage 'ordinaire', administratif.

    Or nous constatons que la plupart de ces bornes cisterciennes sont à l'aplomb d'une faille souterraine, ou d'un ou plusieurs cours d'eau souterrain, doublé d'un croisement de réseaux (le plus souvent Nickel et Fer)

    Nous comprenons alors que leur emplacement a été choisi avec intelligence par des moines qui savaient repérer ces phénomènes, comme nous le savons en étudiant l'implantation des églises ou cathédrales de cette époque.

    Cela soulève pour nous de nombreuses réflexions à propos des limites communales en général : lorsqu'elles dessinent des angles droits en plein milieu d'un champ ou d'un bois par exemple, on se demande pourquoi là? et pas un peu à côté?

    Depuis combien de siècles les hommes ont-ils repéré ces points précis?

    Y avait-il un autre repère là, bien avant ces bornes médiévales?

    Des débuts de réponse nous sont offerts par la géobiologie. Si nous trouvons par exemple un cours d'eau souterrain (invisible à nos yeux) sous le point repéré par une borne, nous comprenons qu'il est une ligne forte du paysage, que les anciens percevaient bien, alors que nous avons beaucoup plus de mal à le ressentir. Et notre hypothèse est que ces lignes de forces invisibles ont bien souvent servi à délimiter les territoires.

    Les pierres ont été positionnées de manière à élever la vibration du lieu, et de diffuser une énergie favorable à la vie des personnes, des animaux et des cultures. C'est le principe de l’électroculture que nous redécouvrons aujourd'hui.

    Si nous avons perdu ces connaissances, et l'usage de ces pierres, il nous est possible de les retrouver si nous acceptons de franchir le pas, et de nous ouvrir à ce que nous ne comprenons pas.

    Borne cistercienne tombée dans le ruisseauSimulation de sa remise en place 



    remise en place d'une borne couchée dans le ruisseauPlusieurs des ces bornes ont basculé de leur emplacement d'origine, gisant dans le ruisseau ou en bordure. Des mesures géobiologiques permettent de retrouver leur emplacement d'origine avec une grande précision afin de les replacer sur les réseaux d'origine, et en respectant l'orientation de la pierre Haut/Bas et Avant/Arrière, afin de restaurer son taux vibratoire

     

    Détaillons-en quelques-unes :

    Bornes cisterciennes à St Aubin Ch. (89)Borne 1Bornes cisterciennes à St Aubin Ch. (89) :

    Située au croisement de trois courants d’eau souterrains (d’intensité variable selon la pluviométrie) et sur un point étoile, c’est à dire à l’intersection des réseaux géobiologiques Hartmann et Curry

    (photo décembre 2015)


     

     

     

     

    Bornes cisterciennes à St Aubin Ch. (89)Bornes cisterciennes à St Aubin Ch. (89) Borne 11

    Située à l’intersection d’une faille, d’un courant d’eau souterrain (d’intensité variable selon la pluviométrie) et sur un point étoile (intersection des réseaux géobiologiques H et C)

    (photo novembre 2015)

     

     

     

     

     

     

    Bornes cisterciennes à St Aubin Ch. (89)Bornes cisterciennes à St Aubin Ch. (89)

    Borne 22 : La Croix de pierre

    Cette imposante borne gravée d’une grande croix, elle est située à l’aplomb d’un large courant d’eau souterrain, et sur un point étoile (intersection des réseaux géobiologiques H et C) (photo novembre 2015)

     

     

     

     

     

     

     

    Bornes cisterciennes à St Aubin Ch. (89) Bornes cisterciennes à St Aubin Ch. (89)Borne 39

    Située à l’aplomb du croisement de deux courants d’eau souterrains et sur un point étoile (intersection des réseaux géobiologiques H et C)

    (photo janvier 2016)

     

     

     

     

     

     

    L'Abbé Noirot nous raconte l'origine de ce bornage :

    Borne cistercienne n°18Brne cistercienne n°21
    "En 1121, la paroisse de Saint-Aubin est dans la main de la famille princière des Courtenay, inféodée dans l'aventure des Croisades. Les donations pieuses précèdent les départs. Le monastère de L'Abbaye Notre-Dame de Fontaine-Jean consent à s'engager, sur demande du seigneur laïc, dans d'importants travaux à effectuer sur les terres domaniales.

    La mise en œuvre de l'assainissement a commencé en 1147.

    Borne cistercienneLes religieux s'affairent sur le plateau à purger les lieux marécageux en instaurant un enchaînement de fossés reliant des étangs aménagés selon des hauteurs diverses afin que s'écoule le surcroît d'eau jusqu'au niveau du ru qui en absorbera les inconvénients : en fait le Vrain et l'Ouanne.
    Furent ainsi résorbées depuis Froville jusqu'à l'étang des Moineries, en passant par ceux des Ormes et de la forêt Gobert, de celle de Fumerault, les tourbières et les boues forestières.

    Il est très probable que les bois accolés à Fourolles aient bénéficié du traitement puisqu'ils étaient lors dans la propriété des Courtenay.
    Occasion fut saisie de relever par bornage les limite
    s territoriales de la paroisse."

     

    Borne cistercienne



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  • Abeilles devant la rucheRuche : choisir un bon emplacementEmplacement d'une rucheJ'aimerais placer ma ruche au bon endroit? Oui, mais comment faire?!

    Dans ce petit tuto (déconseillé aux cartésiens endurcis) nous vous expliquons comment placer les abeilles sur des énergies qui sont en résonance avec elles. Ce sujet nous passionne depuis longtemps, celui des 'couloirs à abeilles'! Il est très facile de se fabriquer un lobe antenne, ou 'poisson' pour trouver ces réseaux géomagnétiques qu'affectionnent les abeilles, et ainsi participer à leur bonne santé.

    Nous avons reçu en 2023 le témoignage de David, suite à la publication de nos vidéos YT sur ce sujet. Le voici :  "La saison des essaims a commencé depuis moins d'un mois, et 4 essaims sont venus directement dans les ruches que j'avais placé sur des couloirs à abeilles. J'avais placé 10 ruches vides dans mon jardin. En 10 ans sur des ruches placées au hasard je n'avais eu que 2 essaims au total qui étaient venus directement. C'est grâce à vous que j'ai découvert les couloirs à abeilles et j'en suis trop heureux, merci beaucoup."
     
    Les couloirs (ou murs) à abeilles étaient bien connus des Anciens. À nous de retrouver cette connaissance et d'en faire bon usage!

    Si vous avez envie de creuser ce sujet, vous pourrez le retrouver de façon détaillée dans mon livre "Ruches refuges" (éditions Ulmer), ainsi que sur le site internet des Petites Ruches : https://petitesruches.fr/spip.php?art... En résumé, nous vous conseillons de placer ruche sur un couloir ou un croisement de deux couloirs, en évitant toutefois la présence de passages d'eau souterraine dont il faudra s'éloigner d'au moins 1 mètre.

    Emplacement du rucherEssaim dans un arbreVous trouverez beaucoup d'informations à ce sujet sur le livre 'Ruches refuges' paru en 2020 aux Éditions Ulmer

     

     Ruches refuges

     



    De nombreux paramètres sont à prendre en compte lorsque l'on installe une ruche ou un petit rucher dans son jardin,
    (cette ruche sera très utile pour polliniser les fruitiers et les plantes du potager par exemple).
    Les paramètres auxquels on pense le plus souvent sont :
    - L'ensoleillement
    - L'orientation
    - Les vents dominants
    - La proximité du voisinage, de la maison...


    Nous ignorons souvent que les paramètres 'géobiologiques' ont également une importance pour la bonne santé d'une ruche.

    Parmi ces facteurs, citons essaim dan sla fenêtre
    - la présence de failles souterraines, ou de courants d'eau souterrains
    - Les réseaux de certains minéraux 

    Un exemple : Lorsque nous avons récupéré cet essaim installé dans la fenêtre (photo ci-contre), nous en avons profité pour faire une petite analyse géobiologique avec les baguettes (sous l'oeil amusé et intéressé des propriétaires de la maison) : résultat : le milieu de la fenêtre se trouve sur un croisement du réseau magnétique du Nickel (Hartmann + / -), et sur le croisement du réseau du cuivre (Peyré). C'est un emplacement particulièrement favorable au développement d'une colonie. 

    Il est très probable qu'un essaim revienne dans cette même fenêtre l'année prochaine...


    Les Anciens connaissaient cette science ; l'observation de très antiques ruchers montre que les ruches y étaient placées de préférence sur certains réseaux et points telluriques particulièrement bénéfiques pour les abeilles, et en particulier pour leur résistances immunitaires.

    Rucher : ruches troncs en ardèchepassage des réseaux du cuivre sur le rucherruches troncs en Ardèche

    très ancien rucher ardéchois, perché dans les bois de châtaigniers. L'énergie y est très favorable aux abeilles.

    Une ruche très active
    Notre ruche la plus active depuis de nombreuses années se trouve sur un emplacement exceptionnel : nous l'avions alors placé sans le savoir sur une large ligne de type Peyré (cuivre+or)
    Cette colonie est très douce, et très populeuse.


    C
    as d'une ruche faible
    Dans notre rucher nous avions repéré qu'une ruche périclitait systématiquement.
    Nous avons décidé d'analyser ce point par des mesures géobiologiques, afin de savoir si ces facteurs pouvaient être en cause. Il s'est avéré que cette ruche était placée à l'aplomb d'une faille géologique, rendant l'énergie de ce point très négative.
    Conclusion : A présent nous installons chaque nouvelle ruche en prenant soin de choisir un point particulièrement propice à la bonne santé des abeilles.

    Conseils
    Nous éviterons de placer des ruches sur des croisement de réseaux négatifs de type Nickel et Fer, ainsi que sur les passages d'eau souterrains. Et nous privilégierons si possible les lignes de passage du réseau de type Peyré (cuivre+or) positif de niveau 2 ou 3.

    Vous trouverez beaucoup d'informations complémentaires sur le livre 'Ruches refuges' paru en 2020 aux Éditions Ulmer

      

    Abeilles installées naturellementCe qui nous intéresse depuis des années est d'essayer de comprendre quels emplacements préfèrent les abeilles, et d'essayer humblement de copier ce qu'elles nous enseignent ; ceci pour leur préservation.
    En effet, la récolte du miel n'est pas notre propos.
    Nous accueillons des abeilles depuis de nombreuses années, en ruches Warré dans 5 à 7 ruches de pollinisation dans lesquelles nous ne récoltons rien, et qui se situent dans le jardin.
    Nous ne pratiquons pas de transhumance, pas de remplacement de reines, ni aucun nourrissement, et ceci depuis fort longtemps.

     

    Nous intervenons chaque année en mai pour récupérer des essaims qui se sont installés dans des fenêtres, afin qu'il ne soient pas détruits : ce sont des endroits intéressants et significatifs au niveau géobiologique. Ce qui me semble intéressant c'est que les abeilles les ont choisis elles-même et s'y sont installées pour y vivre.
    Les 'bonnes fenêtres' sont parfois réoccupées chaque année, et sont bien connues par les habitants du village.

    un essaim qui s'enruche seulLorsque nous avons acheté notre maison, en 2010, nous avons été surpris de voir un essaim s'enrucher seul, dans une ruche vide de démonstration installée à 3 mètres de la porte d'entrée, sur la terrasse. C'était un essaim provenant de l'extérieur, et nous l'avons vu arriver.
    Nous avions ôté l'essaim le soir même pour le donner à un ami, et remis la ruche en place. Elle a été ainsi réoccupée deux fois encore par des essaims vagabonds les jours suivants ; nous avons fini par laisser une colonie à cet endroit,...c'est maintenant la plus vigoureuse de notre rucher, et cela depuis 7 ans.
    Le relevé géobiologique de cet emplacement est très probant ; nous savons que les abeilles ne sont pas venues là par hasard.


    Nous connaissons de nombreuses colonies installées de façon spontanée dans notre environnement proche : églises, arbres creux, trous de murs, pigeonnier, tour, poteaux électriques en béton, fenêtres... lorsque nous en avons l'occasion, nous analysons le point et cela conforte peu à peu notre analyse.

    Depuis 3 ans nous proposons aux stagiaires en apiculture une petite approche de la géobiologie, et nous leur faisons part de nos recherches dans le domaine lié aux abeilles. Les personnes sont presque toutes totalement néophytes, et peuvent ensuite approfondir le sujet si elles veulent aller plus loin.

     

    Remarques

    • concernant le réseau favorable aux abeilles :

    Ce réseau est décrit différemment suivant les géobiologues et sur certains ouvrages récents que nous avons il est mentionné comme étant la résonance 'cuivre+or', c'est à dire une association des deux métaux.
    Tout le monde n'est pas d'accord sur ce sujet.
    Ce qui nous apparaît, lorsque nous recherchons les emplacements où s'installent les abeilles naturellement (arbre, toiture, fenêtre), c'est qu'elles sont bien (selon nous) sur le réseau du cuivre, et souvent sur un noeud.
    Cela dit nous sommes ouverts, et ne prétendons pas tout savoir. La géobiologie n'étant pas une science exacte.

    N'hésitez pas à échanger avec nous sur vos découvertes concernant les abeilles (ou autre) ; car tout ce que nous pouvons faire pour les aider est bienvenu aujourd'hui.

    Merci à ceux qui nous ont écrit pour nous faire part de leurs réflexion sur ce réseau 'abeilles'.

     

    • Une étude à grande échelle serait intéressante à mener, à condition qu'elle porte sur des colonies d'abeilles sauvages. Nous avons connaissance d'une étude qui a été malheureusement été menée sur des ruchers de production : les ruchers analysés comportent de nombreuses ruches (parfois plusieurs dizaines) qui peuvent se concurrencer, et même se piller lorsque la nourriture se fait rare. Cela peut fausser les relevés. De plus, elles connaissent des manipulations, interventions diverses qui peuvent modifier la vigueur et comportement d'une colonie : remplacement des reines, échange de couvain, traitements, nourrissements d'hiver et de printemps, ouverture des ruches.

    Voir aussi cet article anglais de Roger Patterson (traduction Google translate) qui m’a été généreusement communiqué. Il concerne le thème de la géobiologie et des abeilles :
    http://www.dave-cushman.net/bee/leylines.html






     

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  • Carte géologiqueGrâce à la toponymie (qui est l'étude des noms propres désignant un lieu), il est possible de découvrir l'emplacement d'anciennes pierres, ou menhir, d'anciens lieux de cultes celtes, ou encore d'anciennes église ou chapelles aujourd'hui disparues...
    Sur ces emplacements la pratique de la géobiologie permet retrouver l'implantation exacte des ces monuments, et les énergies des lieux.

     

     

    Merlin et Blaise

    Le jeune Merlin de la Table Ronde était accompagné d’un loup. Son protecteur et ami est Blaise, scribe qui relate les aventures des Chevaliers de la Table Ronde et leur quête du Graal.
    Si nous ajoutons Taliesin le barde, qui aurait enseigné sa science à Merlin, nous voici avec la triade : Blaise, Merlin, Taliesin.

    Ils sont 3,  comme les trois aspects du Druide : Merlin qui agit, Blaise celui qui veille et Taliesin qui chante et honore.

    • Blaise est le vieil ermite des romans de la Table Ronde, mentor et ami de Merlin
      Blaise (Bleizz en Breton)
    • Le nom Merlin a une origine très ancienne, qui connaît de nombreuse déclinaisons : Merzhin (Martin) en Breton, du latin Merlinus, du vieux gallois Myrddin,  Myrddin, Merddin, Myrdhin, Murlu, Merlu, Aerlin, Merlik. Il se rapporte aussi au merle blanc.

     

    Celà nous donne un éclairage intéressant sur les nombreuses Pierres du Loup, prés du loup, vallée Blaisée, Chapelle St Blaise, etc, qui cohabitent étroitement avec les Chapelles et pierres St Martin, pierres de Marlin, Vallée St Martin, Clos St Martin, Chêne Martin.


    Voici un autre exemple : le nom Pierre Fite ou Pierrefitte, indique qu'une pierre (menhir) était autrefois plantée à cet endroit.

    Dans notre département (Yonne), il en va de même qu'un peu partout. Très souvent les pierres n'existent plus, mais les noms sont restés!

    Voici d'autres exemples de noms trouvés sur les plans cadastraux dans le centre du département de l'Yonne. : La Grosse Pierre... La Grande Épine, l’Épine aux Prêtres

    Pierre Fite Aillant

    La Fausse Pierre au loup, le Caillou,

    Le Champ des Pierres, les Épinettes

    ou encore La grande Borne, La borne Percée

    Ces emplacements ont été des lieux de culte depuis des temps très anciens (Période néolithique ou Celte)

    Un peu d'Histoire :
     

    Dès le IVème siècle, l’Église a interdit d'adorer les Pierre Fite Aillant (89)pierres, les fontaines ou les arbres, et ordonné ainsi que nombre de ces pierres soient détruites afin d'empêcher qu'un culte ne leur soit rendu.

    Cette interdiction s'est poursuivie et intensifiée sous le règne de Charlemagne.

    Par la suite certains menhirs ont été christianisés (implantation d'une croix à leur sommet), ou remplacés pas une croix ou un calvaire.

    Mais c'est surtout depuis l'époque de la révolution industrielle que le patrimoine mégalithique a subi le plus de dommages, de par la mécanisation agricole et les remembrements.

     


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  • Croix tordue en 1903 lors de l'intallation du téléphone!Des croix, il y en a vraiment partout, et nous passons souvent à côté d'elles sans même des remarquer. Et pourtant...

    Nous en avons recensé une très grande quantité dans tous les villages. Nombreuses aussi sont celles qui ont disparu aujourd'hui et étaient encore mentionnées sur les plans cadastraux de 1820.


    N'oublions pas que dans les siècles passés, l'Eglise a peu à peu fait ériger ces croix à la place d'anciennes pierres levées, menhirs, qui se trouvaient là.

    On ignore la plupart du temps les secrets bien gardés que cachent ces modestes implantations. 
    Le point précis du socle se trouve à la croisée de plusieurs réseaux : croisement de courants d'eau souterrains, et/ou de failles, réseaux telluriques... etc

    Croix Bénite à Lindry (89)Réseaux géobiologiques
    Ce sont des points particulièrement énergétiques, que les hommes ont repérés et choisis depuis fort longtemps, en tout premier lieu pour leurs qualités vibratoires et énergétiques.

    Les hommes ont alors voyagé en prenant ces points comme repères, traçant ainsi peu à peu la trame des chemins et routes telle que nous la connaissons.

    Les carrefours se sont créés là où étaient ces points, et non l'inverse...

    Croix à St Maurice le Viel (89)Une croix à St Maurice Thizouailles

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Fourmilière Les fourmis construisent leurs spectaculaires monticules sur des emplacements choisis et non de façon aléatoire.
    En effet, ces petites montagnes nous donnent des informations sur la nature des réseaux de métaux qui passent juste à cet endroit. Il s'agit le plus fréquemment de croisement des réseaux du Nickel de polarité négative.

    J'ai photographié celle-ci dans la merveilleuse forêt du Mont Beuvray. Une analyse rapide a montré qu'elle se trouve au croisement d'un réseau Nickel 3- et d'un Nickel 2-

    Cette autre fourmilière vue à l'oppidum du Fou de Verdun (Morvan), se situe également au croisement exact (nœud) d'un réseau Nickel 3- et d'un Nickel 2- (Hartmann double négatif)

     Fourmilière près du Fou de Verdun (Fretoy 58)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les deux cheminées de cette fourmilière sont implantées parfaitement dans l'alignement d'un réseau du ndouble fourmilèreickel négatif de niveau 2 : emplacement qu'affectionne cet insecte.

    Le saviez-vous? Une tradition d'Afrique de l'Est rapporte que si un nid de fourmis est volontairement apporté sur un terrain à bâtir et qu'il demeure à cette place, alors l'endroit n'est pas favorable à la construction d'une maison. Par contre si les fourmis quittent le lieu, c'est qu'elles ne l'aiment pas et que l'on peut sans danger y bâtir son habitation.

    Effectivement, un réseau du nickel négatif de niveau 2 ou plus n'est pas favorable à la vie des humains, en tout cas pas pour y stationner longuement.

     

     

     


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