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Les fourmis construisent leurs spectaculaires monticules sur des emplacements choisis et non de façon aléatoire.
En effet, ces petites montagnes nous donnent des informations sur la nature des réseaux de métaux qui passent juste à cet endroit. Il s'agit le plus fréquemment de croisement des réseaux du Nickel de polarité négative.J'ai photographié celle-ci dans la merveilleuse forêt du Mont Beuvray. Une analyse rapide a montré qu'elle se trouve au croisement d'un réseau Nickel 3- et d'un Nickel 2-
Cette autre fourmilière vue à l'oppidum du Fou de Verdun (Morvan), se situe également au croisement exact (nœud) d'un réseau Nickel 3- et d'un Nickel 2- (Hartmann double négatif)
Les deux cheminées de cette fourmilière sont implantées parfaitement dans l'alignement d'un réseau du nickel négatif de niveau 2 : emplacement qu'affectionne cet insecte.
Le saviez-vous? Une tradition d'Afrique de l'Est rapporte que si un nid de fourmis est volontairement apporté sur un terrain à bâtir et qu'il demeure à cette place, alors l'endroit n'est pas favorable à la construction d'une maison. Par contre si les fourmis quittent le lieu, c'est qu'elles ne l'aiment pas et que l'on peut sans danger y bâtir son habitation.
Effectivement, un réseau du nickel négatif de niveau 2 ou plus n'est pas favorable à la vie des humains, en tout cas pas pour y stationner longuement.
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Dans les temps anciens, on établissait sa demeure en prenant soin de choisir un emplacement le plus bénéfique qui soit.
Et ceci était vrai pour l'habitation principale, mais aussi pour les bâtiments accueillant le bétail, le rucher, le pigeonnier et même la cave à vin, ... etcPar exemple, avant toute construction on observait le comportement du bétail sur le terrain, et l'endroit que préférait les animaux était jugé propice. En effet les animaux ont des facultés instinctives de sentir les bons endroits. Certains humains ont également cette faculté ou l'on développée ; mais elle est en sommeil chez la plupart d'entre nous.
On évitait autrefois de construire des bâtiments sur des réseaux d'eau souterrains ou à l'aplomb de failles géologiques.
Aujourd'hui, l'analyse préalable à construction d'une maison ne prend pas en compte ces phénomènes. Et c'est dommage, car c'est parfois la cause de certains problèmes de santé.
Il peut exister des endroits où 'il ne fait pas bon vivre' sans qu'on s'en aperçoive.
autant il peut y avoir de points bénéfiques, autant il peut y en avoir de néfastes à la santé.
Aujourd'hui la connaissance et les outils de la géobiologie nous permet de
- trouver les meilleurs endroits pour construire sa maison
- organiser au mieux la disposition les pièces
- placer les meubles où l'on séjourne le plus souvent (lits, bureau, canapé...) sur des point les plus positifs
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Chapelle Sainte-Anne,
à Aillant sur Tholon (89)Cette jolie chapelle de l'Yonne (89), à l'ouest d'Auxerre, nous offre un site riche de découvertes géobiologiques.
La chapelle ne se visite que sur rendez-vous, mais pour les passionnés de géobiologie, beaucoup d'observations peuvent être faites depuis l'enclos.Chapelle nommée ND de Lorette sur la carte
Chapelle Saint-Félix, à Merry la vallée (89)Elle est nichée au milieu des bois, dans une très jolie clairière..
En suivant le chemin forestier, vous trouverez la fontaine Joubert.
Cette chapelle est toujours ouverte.
De nombreuses explications sont disponibles à l'intérieur.Chapelle Sainte-Reine,
à Villiers Saint-Benoît (89)C'est une jolie chapelle du XIIème siècle, remaniée au XVIIème siècle.
Un pélerinage se déroule le premier dimanche du mois de septembre à l'occasion de la Sainte Reine.
Une fontaine miraculeuse se trouvait près de la chapelle.
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Impossible de passer à côté de ce chêne 'bonzaï' lorsqu'on arrive à la Pierre qui Vire, près de St Léger Vauban (Morvan) : il indique la présence d'un passage d'eau à son pied. Une faille est également située à sa droite. Il s'éloigne comme il peut, mais de façon très franche, de ces influences qui ne lui correspondent pas.
Le pin tordu (ci-dessous) : rencontré au hasard de nos promenade ce pin a attiré notre attention. Il a malencontreusement germé à l'aplomb d'une faille, et d'un croisement de réseaux négatifs (Ni2- et Fe2-) : ce qui l'a probablement conduit à fuir cet emplacement défavorable.
Le hêtre à deux bras (ci-dessous) : Au hasard d'une promenade en forêt nous avons découvert cet arbre qui nous tendait les bras!
Il s'est implanté sans le savoir sur un point particulièrement défavorable : sur un réseau du Nickel négatif de niveau 3, combiné à une faille (il est vraiment bien mal tombé!). Sa ramure a catégoriquement refusé de continuer son ascension sur ce point aussi peu hospitalier et a choisi de poursuivre sa route bien à l'écart... D'où cette silhouette étrange!
Le charme fourchu : face à une telle silhouette il est toujours intéressant de regarder ce qui se passe à cet endroit... Y a -t-il une perturbation majeure? Dans ce cas nous avons détecté une faille humide passant sous l'arbre.
Une zone perturbée, et de nombreux arbres dépérissant
Dans un secteur de la forêt, sur une large zone d'environ 200 m2, nous remarquons que les arbres présents sont chétifs, dépérissant, morts ou très malades.
Nous ne distinguons aucun arbre sain à cet emplacement.
Les deux sujets ci-dessous montrent des déformations bien visibles :Un châtaigner, mort, présente une forte excroissance, (à gauche)
Un bouleau a lui aussi une excroissance, et sa végétation est très faible (à droite)Ces deux arbres sont à 3 mètres l'un de l'autre.
La recherche nous révèle un taux vibratoire très bas sur toute cette zone, la présence de très nombreux courants d'eau souterrains et d'une faille. Sur l'emplacement du châtaignier, ces perturbations se cumulent avec le croisement d'un réseau Nickel 3- et d'un Fer 3-
Le réseau du nickel (vert clair sur le schéma) se prolonge sur l'emplacement du bouleau, qui est sur un croisement Ni 3-/Ni 1-Les arbres qui nous rechargent
Cet arbre majestueux, châtaignier centenaire à Parly (89) est un symbole de force, d'énergie et de majesté. Il est le lien entre le ciel et la terre.
A ce propos je ne résiste pas au plaisir de citer Henri Vincenot (extrait de la Billebaude) :
"Si jamais tu es patraque, me disait le grand-père Sandrot, mets-toi le dos contre un beau chêne de futaie (chêne sauvage qui a poussé tout seul) ou un « moderne » de belle venue (chêne qui a été planté).
Colle-toi les talons, les fesses, le dos et le « creuteu » (la partie postérieure du crâne, l'occiput) contre le tronc, tourné vers le sud, la paume des mains bien à plat sur l'écorce, et restes-y aussi longtemps que tu pourras…une heure, si tu en a la patience : Guari !
Regonflé à péter que tu seras !
Regonflé de quoi ?
Regonflé de vie, garçon !
Et c'est facile à comprendre : l'arbre suce sa vie dans la terre, ça remonte par ses racines et par son tronc, et il la suce aussi dans le ciel par ses feuilles, et ça descend par ses branches. Ça circule dans les deux sens, tu comprends ? Et toi tu te requinques au passage ! C'est comme ça qu'ils se regôgnaient nos anciens !"Le chêne et la foudre : (ci-dessous)
Un grand chêne, semblable à un géant! La foudre l'a traversé de part en part, et tout l'intérieur de l'arbre est calciné. Mais il est bien vivant, et la sève continue à circuler dans ses deux 'jambes'.Nous avons découvert qu'une faille souterraine passe exactement sous l'arbre.
Loupe de frêne : Au milieu de la forêt se trouve ce remarquable frêne boursouflé. Cet arbre a poussé sur une faille humide doublée d'un croisement de deux forts réseaux magnétiques du nickel Ni2- / Ni3-, ce qui représente un emplacement de très basse énergie vitale.
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Les pigeonniers sont des lieux importants et très instructifs du point de vue de la géobiologie.
Ils sont la plupart du temps placés dans des tours, qui avaient autrefois plusieurs fonctions. L'énergie présente dans la tour certaines églises correspond à celle observée dans les pigeonniers. Ces deux fonctions sont parfois combinées...
Dans les pigeonniers que nous avons observés, la même configuration se répète, tendant à montrer que les anciens les implantaient selon des règles très strictes.
Nous avons pu constater que les réseaux d'énergies qui les traversent y sont larges, et très positifs, se croisant au niveau des ouvertures (porte centrale et fenêtre d'envol.
Les pigeons, certainement sensibles à ces énergies invisibles, et se repèrent probablement grâce à eux.
Une histoire surprenante nous a été relatée, celle d'un éleveur de pigeons, et champion colombophile qui avait de très bon résultats avec ses animaux et gagnait de nombreux concours, mais le jour où il a entrepris de déplacer son pigeonnier... il a constaté une baisse des facultés de ses pigeons voyageurs qui rentraient même parfois en queue de peloton.
Ceci nous fait penser que nous avons intérêt à nous pencher sur les connaissances des anciens, en ce domaine comme dans d'autres.
Nous avons entrepris d'analyser la disposition d'autres pigeonniers encore, afin d'affiner les contantes déjà observées.
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