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bienvenue sur le sentier des pierres !
Nous poursuivons nos actions et stages en Haute-Vienne (87)
(voir calendrier des stages)
Partons à la découverte de la géobiologie...la géobiologie... c'est quoi?!
C'est l'étude de la qualité vitale d'un lieu, et sa répercussion sur le monde vivant, végétaux, animaux et humains.
Voici les thèmes principaux que nous vous proposons de découvrir au fil de ce blog :
- La géobiologie dans nos terrains et maisons :
c'est l'étude de nombreuses influences sur le bien-être et la santé : rayonnements naturels d’origine tellurique (eau souterraine, faille, réseaux des métaux...), rayonnement des champs électromagnétiques, qualité des matériaux de construction.Cette discipline tente de trouver les solutions pour remédier aux problèmes existants s'il y en a.
- La géobiologie des lieux sacrés :
L'emplacement d'un site, son orientation, son architecture et les énergies qui s'en dégagent, caractérisent la qualité d'un lieu sacré... Les anciens connaissaient et utilisaient ces lignes d'énergie et nous les redécouvrons aujourd'hui.- L'influence sur les plantes et les animaux : selon qu'ils sont sur un bon ou un mauvais emplacement, un arbre, ou une colonie d'abeilles par exemple, peut prospérer, végéter ou mourir.
Faut-il un don pour appréhender ces phénomènes?
- Non, la détection des phénomènes subtils, et la pratique de la géobiologie est accessible à tous. Quelques minutes suffisent pour réveiller les premières 'connexions', prendre confiance, et ensuite c'est une question de pratique, et aussi de 'lâcher prise', car notre éducation nous a souvent coupés de ces connaissances et de ces ressentis. Cependant elles sont là, enfouies en nous et ne demandent qu'à se réveiller.
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Par petites ruches le 31 Décembre 2015 à 21:02
Bonjour à tous! Nous vous accueillons dans le Limousin, en Haute-Vienne (87800),
dans le village de La Roche l'Abeille.pour tout renseignement sur les stages, contactez nous à petitesruches@free.fr
Nous proposons trois formats de stages :
Les stages roses (2 jours) ont lieu en Limousin,
en Haute-Vienne (87800) La Roche l'Abeille)
Ils sont animés par Alain Richard et Céline LocquevilleIls sont accessibles aux débutants ainsi qu'à des personnes ayant déjà des connaissances et qui souhaitent approfondir, car le stage est très dense.
Les stages bleus (2 ou 3 jours) se déroulent dans des lieux divers qui sont détaillés dans le calendrier.
En 2025, nous proposons deux destinations : l'une autour de la prestigieuse abbaye de Solignac, combinée avec La Roche l'Abeille (Sud de Limoges), et l'autre, dans le magnifique secteur des Monts de Blond (Nord Ouest de Limoges).Les stages sont animés par Alain Richard et Céline Locqueville. Ils permettent aux personnes ayant suivi le module rose de pouvoir accéder à de nouveaux enseignements et pratiquer sur d'autres lieux, essentiellement des lieux d'énergie.
Les stages indigo (2 jours)
Ils ont pour objet de développer l’écoute des réponses de notre corps aux questions que nous pouvons poser.
Ressenti du biochamp, etc
L’animateur du stage est Alain. (Ils se déroulent en salle en hiver)Il est indispensable d'avoir suivi une stage rose avant de faire un stage bleu ou indigo : en effet nous tenons à ce que les stagiaires fassent connaissance avec notre lieu qui est vraiment intéressant du point de vue de la géobiologie, lors d'un stage 'rose', et que nous tissions des liens d'amitiés avant de nous retrouver pour un 'bleu'. Nous souhaitons nous en tenir à cette règle que nous avons fixée (rose avant la suite), et qu'elle soit la même pour tous. Par ailleurs le stage rose n'est pas un stage uniquement pour les débutants, il est 'tous niveaux', et très copieux.
L'intention de chacun de ces stages est d'apporter des connaissances en géobiologie, mais en même temps et surtout de permettre à chaque stagiaire de redécouvrir les potentiels de détection, des ressentis de son corps, de les réveiller, les développer pour s'en servir à des fins bénéfiques au quotidien pour soi, les autres, la terre... Alternance de théorie et de pratique.
le calendrier est mis à jour toutes les semaines
Calendrier 2025
* sam 22 et dim 23 février 2025 Complet (à La Roche l'Abeille)
(stage indigo)* sam 22 et dim 23 mars 2025 3 places dispo (en Hte-Vienne) à La Roche l'Abeille
* sam 26 et dim 27 avril 2025 5 places dispo (en Hte-Vienne) à La Roche l'Abeille
* sam 10 et dim 11 mai 2025 3 places dispo (en Hte-Vienne, sud de Limoges)
premier jour à La Roche l'Abeille, second à Solignac et ses environs
* vendredi 30, sam 31 mai et dim 01 juin 2025 (* stage de 3 jours *)
6 places dispo (en Hte-Vienne, nord-ouest de Limoges)
à la découverte des mégalithes des Monts de Blond* sam 21 et dim 22 juin 6 places dispo (en Hte-Vienne) à La Roche l'Abeille
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Tarifs 2025
Stage (*) rose 100€/p (stage de 2 jours), à La Roche l'Abeille (87)
Stage (*) bleu de 2 jours 120€/p (La Roche l'Abeille et Solignac...)
Stage (*) bleu de 3 jours 150€/p (Mégalithes des Monts de Blond...)
Stage (*) indigo 100€/p (stage de 2 jours), à La Roche l'Abeille (87)
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Accessibles à tous, à partir de 18 ans
(stage limité à 10/12 personnes maximum )Horaires des stages : 9h30 – 17h30 environ
(les horaires du stage bleu peuvent être un peu différents, donnés au cas par cas)
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Comment s'inscrire
Envoyez-nous un mail à petitesruches@free.fr
Nous vous répondons en général dans la journée, et vous recevez
toutes les infos pratiques, et l'adresse pour envoyer les arrhes (50€)Repas de midi : pique-nique à prévoir pour les midis
Les animaux de compagnie ne sont pas admisHébergement :
- en chambres d'hôtes, gîte, camping à la ferme (liste des adresses sur demande par mail)
Programme Stage rose
(2 jours):Stage de terrain dans plusieurs lieux proches de notre village, pour acquérir les bases et/ ou développer ses connaissances
- se familiariser avec les outils de la géobiologie
- dans des lieux d'énergie, prendre connaissance des principaux phénomènes telluriques que l'on détecte sous nos pieds : eau, failles, réseaux liés aux métaux (Réseau Hartmann, Curry, ...)
- mesurer l'énergie d'un lieu
- vérifier que son lit, son canapé est à la bonne place
- établir un parcours énergétique
- détecter les couloirs à abeille, savoir placer une ruche
- trouver l'emplacement pour planter un arbre, etc
(NB afin d'éviter tout malentendu : si vous êtes exclusivement intéressé par la détection de couloirs à abeilles, ou par l'emplacement où creuser un puits, alors il vaut mieux vous diriger vers un géobiologue qui pourra vous conseiller. Le stage va bien au delà de ces sujets techniques, et risque de ne pas vous correspondre). Ne venez pas non plus par 'curiosité'.
Programme Stages bleu en Limousin (2 ou 3 jours)
Les stages bleus sont tous différents, avce des apprentissages complémentaires. Ils se déroulent sur des lieux d'énergie, en grande partie dans la nature, certaines fois dans les Monts de Blond, ou dans d'autres secteurs comme à l'abbaye de Solignac, couplée avec une première journée en nature à La Roche l'Abeille (voir calendrier).
Nous prolongeons la découverte initiée au stage rose, sur des lieux d'énergie (mégalithes, chapelles, fontaines, etc ...). C'est l'occasion de se plonger dans le 'grand bain' des énergies et de découvrir des lieux d'une autre façon que celle que nous pratiquons quand nous faisons du "tourisme", c'est à dire plus en profondeur, et de façon plus subtile, avec tous nos sens en éveil, en se plaçant du point de vue de la géobiologie.Nous nous appuyons sur les bases et abordons ici de nouveaux sujets : courants telluriques, cheminées cosmo-telluriques, vortex, biochamp et connexion au lieu...
Rappel : il est indispensable d'avoir suivi une stage rose avant de faire un stage bleu.
Programme Stage (indigo) (2 jours):
Ce stage a pour objet de développer l’écoute des réponses de notre corps aux questions que nous pouvons poser. Cela se fait par l’observation de la fluctuation de notre enveloppe énergétique (bio-champ) ou par d’autres techniques de ressenti subtil.
Parmi les domaines explorés, qui font l’objet d’exercices dans ce stage, citons :
- L’analyse de notre maison (géobiologie de l’habitat)
- Qualité et niveau vibratoire des aliments, de l’eau.
- Appréciation de tel ou tel objet, site, idée, projet, etc.
- Connexion et communication avec les êtres et Présences invisibles, avec les arbres…
Rappel : il est indispensable d'avoir suivi une stage rose avant de faire un stage indigo
Galerie photos :
Commentaire : Mille mercis pour ce week-end étonnant, connecté et magique. Je me sens si bien, je suis vraiment heureuse de tous ces incroyables enseignements, un monde merveilleux s'ouvre à moi, vous m'en avez offert les clefs, un monde que je ne soupçonnais pas et qui va transformer, bouleverser mon quotidien. Je vous remercie sincèrement et très chaleureusement de cette belle transmission. Je la ressens vraiment comme une seconde naissance, je suis comme submergée de paix, de gratitude, d'amour et de sérénité. Cela vous semblera peut être démesuré, excessif, c'est cependant bien ce que je ressens... CM
3 commentaires - en chambres d'hôtes, gîte, camping à la ferme (liste des adresses sur demande par mail)
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Par petites ruches le 6 Janvier 2016 à 11:31
J'aimerais placer ma ruche au bon endroit? Oui, mais comment faire?!
Si vous avez envie de creuser ce sujet, vous pourrez le retrouver de façon détaillée dans mon livre "Ruches refuges" (éditions Ulmer), ainsi que sur le site internet des Petites Ruches : https://petitesruches.fr/spip.php?art... En résumé, nous vous conseillons de placer ruche sur un couloir ou un croisement de deux couloirs, en évitant toutefois la présence de passages d'eau souterraine dont il faudra s'éloigner d'au moins 1 mètre.
Vous trouverez beaucoup d'informations à ce sujet sur le livre 'Ruches refuges' paru en 2020 aux Éditions Ulmer
De nombreux paramètres sont à prendre en compte lorsque l'on installe une ruche ou un petit rucher dans son jardin,
(cette ruche sera très utile pour polliniser les fruitiers et les plantes du potager par exemple).
Les paramètres auxquels on pense le plus souvent sont :
- L'ensoleillement
- L'orientation
- Les vents dominants
- La proximité du voisinage, de la maison...
Nous ignorons souvent que les paramètres 'géobiologiques' ont également une importance pour la bonne santé d'une ruche.
Parmi ces facteurs, citons
- la présence de failles souterraines, ou de courants d'eau souterrains
- Les réseaux de certains minérauxUn exemple : Lorsque nous avons récupéré cet essaim installé dans la fenêtre (photo ci-contre), nous en avons profité pour faire une petite analyse géobiologique avec les baguettes (sous l'oeil amusé et intéressé des propriétaires de la maison) : résultat : le milieu de la fenêtre se trouve sur un croisement du réseau magnétique du Nickel (Hartmann + / -), et sur le croisement du réseau du cuivre (Peyré). C'est un emplacement particulièrement favorable au développement d'une colonie.
Il est très probable qu'un essaim revienne dans cette même fenêtre l'année prochaine...
Les Anciens connaissaient cette science ; l'observation de très antiques ruchers montre que les ruches y étaient placées de préférence sur certains réseaux et points telluriques particulièrement bénéfiques pour les abeilles, et en particulier pour leur résistances immunitaires.très ancien rucher ardéchois, perché dans les bois de châtaigniers. L'énergie y est très favorable aux abeilles.
Une ruche très active
Notre ruche la plus active depuis de nombreuses années se trouve sur un emplacement exceptionnel : nous l'avions alors placé sans le savoir sur une large ligne de type Peyré (cuivre+or)
Cette colonie est très douce, et très populeuse.
Cas d'une ruche faible
Dans notre rucher nous avions repéré qu'une ruche périclitait systématiquement.
Nous avons décidé d'analyser ce point par des mesures géobiologiques, afin de savoir si ces facteurs pouvaient être en cause. Il s'est avéré que cette ruche était placée à l'aplomb d'une faille géologique, rendant l'énergie de ce point très négative.
Conclusion : A présent nous installons chaque nouvelle ruche en prenant soin de choisir un point particulièrement propice à la bonne santé des abeilles.Conseils
Nous éviterons de placer des ruches sur des croisement de réseaux négatifs de type Nickel et Fer, ainsi que sur les passages d'eau souterrains. Et nous privilégierons si possible les lignes de passage du réseau de type Peyré (cuivre+or) positif de niveau 2 ou 3.Ce qui nous intéresse depuis des années est d'essayer de comprendre quels emplacements préfèrent les abeilles, et d'essayer humblement de copier ce qu'elles nous enseignent ; ceci pour leur préservation.
En effet, la récolte du miel n'est pas notre propos.
Nous accueillons des abeilles depuis de nombreuses années, en ruches Warré dans 5 à 7 ruches de pollinisation dans lesquelles nous ne récoltons rien, et qui se situent dans le jardin.
Nous ne pratiquons pas de transhumance, pas de remplacement de reines, ni aucun nourrissement, et ceci depuis fort longtemps.Nous intervenons chaque année en mai pour récupérer des essaims qui se sont installés dans des fenêtres, afin qu'il ne soient pas détruits : ce sont des endroits intéressants et significatifs au niveau géobiologique. Ce qui me semble intéressant c'est que les abeilles les ont choisis elles-même et s'y sont installées pour y vivre.
Les 'bonnes fenêtres' sont parfois réoccupées chaque année, et sont bien connues par les habitants du village.
Lorsque nous avons acheté notre maison, en 2010, nous avons été surpris de voir un essaim s'enrucher seul, dans une ruche vide de démonstration installée à 3 mètres de la porte d'entrée, sur la terrasse. C'était un essaim provenant de l'extérieur, et nous l'avons vu arriver.
Nous avions ôté l'essaim le soir même pour le donner à un ami, et remis la ruche en place. Elle a été ainsi réoccupée deux fois encore par des essaims vagabonds les jours suivants ; nous avons fini par laisser une colonie à cet endroit,...c'est maintenant la plus vigoureuse de notre rucher, et cela depuis 7 ans.
Le relevé géobiologique de cet emplacement est très probant ; nous savons que les abeilles ne sont pas venues là par hasard.
Nous connaissons de nombreuses colonies installées de façon spontanée dans notre environnement proche : églises, arbres creux, trous de murs, pigeonnier, tour, poteaux électriques en béton, fenêtres... lorsque nous en avons l'occasion, nous analysons le point et cela conforte peu à peu notre analyse.
Depuis 3 ans nous proposons aux stagiaires en apiculture une petite approche de la géobiologie, et nous leur faisons part de nos recherches dans le domaine lié aux abeilles. Les personnes sont presque toutes totalement néophytes, et peuvent ensuite approfondir le sujet si elles veulent aller plus loin.Remarques
- concernant le réseau favorable aux abeilles :
Ce réseau est décrit différemment suivant les géobiologues et sur certains ouvrages récents que nous avons il est mentionné comme étant la résonance 'cuivre+or', c'est à dire une association des deux métaux.
Tout le monde n'est pas d'accord sur ce sujet.
Ce qui nous apparaît, lorsque nous recherchons les emplacements où s'installent les abeilles naturellement (arbre, toiture, fenêtre), c'est qu'elles sont bien (selon nous) sur le réseau du cuivre, et souvent sur un noeud.
Cela dit nous sommes ouverts, et ne prétendons pas tout savoir. La géobiologie n'étant pas une science exacte.N'hésitez pas à échanger avec nous sur vos découvertes concernant les abeilles (ou autre) ; car tout ce que nous pouvons faire pour les aider est bienvenu aujourd'hui.
Merci à ceux qui nous ont écrit pour nous faire part de leurs réflexion sur ce réseau 'abeilles'.
- Une étude à grande échelle serait intéressante à mener, à condition qu'elle porte sur des colonies d'abeilles sauvages. Nous avons connaissance d'une étude qui a été malheureusement été menée sur des ruchers de production : les ruchers analysés comportent de nombreuses ruches (parfois plusieurs dizaines) qui peuvent se concurrencer, et même se piller lorsque la nourriture se fait rare. Cela peut fausser les relevés. De plus, elles connaissent des manipulations, interventions diverses qui peuvent modifier la vigueur et comportement d'une colonie : remplacement des reines, échange de couvain, traitements, nourrissements d'hiver et de printemps, ouverture des ruches.
Voir aussi cet article anglais de Roger Patterson (traduction Google translate) qui m’a été généreusement communiqué. Il concerne le thème de la géobiologie et des abeilles :
http://www.dave-cushman.net/bee/leylines.html
4 commentaires -
Par petites ruches le 10 Janvier 2016 à 14:44
Les fourmis construisent leurs spectaculaires monticules sur des emplacements choisis et non de façon aléatoire.
En effet, ces petites montagnes nous donnent des informations sur la nature des réseaux de métaux qui passent juste à cet endroit. Il s'agit le plus fréquemment de croisement des réseaux du Nickel de polarité négative.J'ai photographié celle-ci dans la merveilleuse forêt du Mont Beuvray. Une analyse rapide a montré qu'elle se trouve au croisement d'un réseau Nickel 3- et d'un Nickel 2-
Cette autre fourmilière vue à l'oppidum du Fou de Verdun (Morvan), se situe également au croisement exact (nœud) d'un réseau Nickel 3- et d'un Nickel 2- (Hartmann double négatif)
Les deux cheminées de cette fourmilière sont implantées parfaitement dans l'alignement d'un réseau du nickel négatif de niveau 2 : emplacement qu'affectionne cet insecte.
Le saviez-vous? Une tradition d'Afrique de l'Est rapporte que si un nid de fourmis est volontairement apporté sur un terrain à bâtir et qu'il demeure à cette place, alors l'endroit n'est pas favorable à la construction d'une maison. Par contre si les fourmis quittent le lieu, c'est qu'elles ne l'aiment pas et que l'on peut sans danger y bâtir son habitation.
Effectivement, un réseau du nickel négatif de niveau 2 ou plus n'est pas favorable à la vie des humains, en tout cas pas pour y stationner longuement.
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Par petites ruches le 11 Janvier 2016 à 20:45
Impossible de passer à côté de ce chêne 'bonzaï' lorsqu'on arrive à la Pierre qui Vire, près de St Léger Vauban (Morvan) : il indique la présence d'un passage d'eau à son pied. Une faille est également située à sa droite. Il s'éloigne comme il peut, mais de façon très franche, de ces influences qui ne lui correspondent pas.
Le pin tordu (ci-dessous) : rencontré au hasard de nos promenade ce pin a attiré notre attention. Il a malencontreusement germé à l'aplomb d'une faille, et d'un croisement de réseaux négatifs (Ni2- et Fe2-) : ce qui l'a probablement conduit à fuir cet emplacement défavorable.
Le hêtre à deux bras (ci-dessous) : Au hasard d'une promenade en forêt nous avons découvert cet arbre qui nous tendait les bras!
Il s'est implanté sans le savoir sur un point particulièrement défavorable : sur un réseau du Nickel négatif de niveau 3, combiné à une faille (il est vraiment bien mal tombé!). Sa ramure a catégoriquement refusé de continuer son ascension sur ce point aussi peu hospitalier et a choisi de poursuivre sa route bien à l'écart... D'où cette silhouette étrange!
Le charme fourchu : face à une telle silhouette il est toujours intéressant de regarder ce qui se passe à cet endroit... Y a -t-il une perturbation majeure? Dans ce cas nous avons détecté une faille humide passant sous l'arbre.
Une zone perturbée, et de nombreux arbres dépérissant
Dans un secteur de la forêt, sur une large zone d'environ 200 m2, nous remarquons que les arbres présents sont chétifs, dépérissant, morts ou très malades.
Nous ne distinguons aucun arbre sain à cet emplacement.
Les deux sujets ci-dessous montrent des déformations bien visibles :Un châtaigner, mort, présente une forte excroissance, (à gauche)
Un bouleau a lui aussi une excroissance, et sa végétation est très faible (à droite)Ces deux arbres sont à 3 mètres l'un de l'autre.
La recherche nous révèle un taux vibratoire très bas sur toute cette zone, la présence de très nombreux courants d'eau souterrains et d'une faille. Sur l'emplacement du châtaignier, ces perturbations se cumulent avec le croisement d'un réseau Nickel 3- et d'un Fer 3-
Le réseau du nickel (vert clair sur le schéma) se prolonge sur l'emplacement du bouleau, qui est sur un croisement Ni 3-/Ni 1-Les arbres qui nous rechargent
Cet arbre majestueux, châtaignier centenaire à Parly (89) est un symbole de force, d'énergie et de majesté. Il est le lien entre le ciel et la terre.
A ce propos je ne résiste pas au plaisir de citer Henri Vincenot (extrait de la Billebaude) :
"Si jamais tu es patraque, me disait le grand-père Sandrot, mets-toi le dos contre un beau chêne de futaie (chêne sauvage qui a poussé tout seul) ou un « moderne » de belle venue (chêne qui a été planté).
Colle-toi les talons, les fesses, le dos et le « creuteu » (la partie postérieure du crâne, l'occiput) contre le tronc, tourné vers le sud, la paume des mains bien à plat sur l'écorce, et restes-y aussi longtemps que tu pourras…une heure, si tu en a la patience : Guari !
Regonflé à péter que tu seras !
Regonflé de quoi ?
Regonflé de vie, garçon !
Et c'est facile à comprendre : l'arbre suce sa vie dans la terre, ça remonte par ses racines et par son tronc, et il la suce aussi dans le ciel par ses feuilles, et ça descend par ses branches. Ça circule dans les deux sens, tu comprends ? Et toi tu te requinques au passage ! C'est comme ça qu'ils se regôgnaient nos anciens !"Le chêne et la foudre : (ci-dessous)
Un grand chêne, semblable à un géant! La foudre l'a traversé de part en part, et tout l'intérieur de l'arbre est calciné. Mais il est bien vivant, et la sève continue à circuler dans ses deux 'jambes'.Nous avons découvert qu'une faille souterraine passe exactement sous l'arbre.
Loupe de frêne : Au milieu de la forêt se trouve ce remarquable frêne boursouflé. Cet arbre a poussé sur une faille humide doublée d'un croisement de deux forts réseaux magnétiques du nickel Ni2- / Ni3-, ce qui représente un emplacement de très basse énergie vitale.
4 commentaires -
Par petites ruches le 12 Janvier 2016 à 08:03
Les pigeonniers sont des lieux importants et très instructifs du point de vue de la géobiologie.
Ils sont la plupart du temps placés dans des tours, qui avaient autrefois plusieurs fonctions. L'énergie présente dans la tour certaines églises correspond à celle observée dans les pigeonniers. Ces deux fonctions sont parfois combinées...
Dans les pigeonniers que nous avons observés, la même configuration se répète, tendant à montrer que les anciens les implantaient selon des règles très strictes.
Nous avons pu constater que les réseaux d'énergies qui les traversent y sont larges, et très positifs, se croisant au niveau des ouvertures (porte centrale et fenêtre d'envol.
Les pigeons, certainement sensibles à ces énergies invisibles, et se repèrent probablement grâce à eux.
Une histoire surprenante nous a été relatée, celle d'un éleveur de pigeons, et champion colombophile qui avait de très bon résultats avec ses animaux et gagnait de nombreux concours, mais le jour où il a entrepris de déplacer son pigeonnier... il a constaté une baisse des facultés de ses pigeons voyageurs qui rentraient même parfois en queue de peloton.
Ceci nous fait penser que nous avons intérêt à nous pencher sur les connaissances des anciens, en ce domaine comme dans d'autres.
Nous avons entrepris d'analyser la disposition d'autres pigeonniers encore, afin d'affiner les contantes déjà observées.
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