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Par petites ruches le 1 Janvier 2016 à 21:39
Les bornes cisterciennes de St Aubin Château Neuf (Yonne - Bourgogne)
Une soixantaine de bornes jalonnaient autrefois le périmètre de la paroisse de Saint-Aubin Château Neuf dans l'Yonne (89), qui porte aujourd'hui le nom du Val d'Ocre ; bornage singulier et unique en son genre dans la région!
C'est un vestige du passé très précieux.Qui a implanté ces bornes?
L’Histoire nous révèle qu'elles ont été implantées au XII ème siècle par des moines cisterciens de l'Abbaye de Fontaine-Jean (à Saint-Maurice sur Aveyron dans le Loiret).
(Voir texte en fin de page)Combien en reste-t-il?
Une bonne quarantaine de ces bornes a résisté aux événements de près de neuf siècles : guerres, révolution, et plus récemment la modernisation et le remembrement qui ont effacé bien des traces du passé.
Quelques bornes cisterciennes sont présentées sur cette vidéo que nous avons faite en août 2021 :
Deux de ces bornes cisterciennes sont présentées sur cette vidéo, du point de vue de la géobiologie, ainsi que le menhir dit 'Pierrefite' (89) : les bornes n°16 et n°22
On peut les découvrir dans les champs, le long des sentiers, dans les forêts, ou en bord de ruisseaux.
Voici la carte qui les présente, sur le périmètre de la commune (points rouges numérotés) cliquer pour voir la carte détaillée
Ce sont de belles pierres en grès, la plupart numérotées et gravées de croix sur trois faces.
A première vue on pourrait penser qu'il s'agit là d'un bornage 'ordinaire', administratif.
Or nous constatons que la plupart de ces bornes cisterciennes sont à l'aplomb d'une faille souterraine, ou d'un ou plusieurs cours d'eau souterrain, doublé d'un croisement de réseaux (le plus souvent Nickel et Fer)
Nous comprenons alors que leur emplacement a été choisi avec intelligence par des moines qui savaient repérer ces phénomènes, comme nous le savons en étudiant l'implantation des églises ou cathédrales de cette époque.
Cela soulève pour nous de nombreuses réflexions à propos des limites communales en général : lorsqu'elles dessinent des angles droits en plein milieu d'un champ ou d'un bois par exemple, on se demande pourquoi là? et pas un peu à côté?
Depuis combien de siècles les hommes ont-ils repéré ces points précis?
Y avait-il un autre repère là, bien avant ces bornes médiévales?
Des débuts de réponse nous sont offerts par la géobiologie. Si nous trouvons par exemple un cours d'eau souterrain (invisible à nos yeux) sous le point repéré par une borne, nous comprenons qu'il est une ligne forte du paysage, que les anciens percevaient bien, alors que nous avons beaucoup plus de mal à le ressentir. Et notre hypothèse est que ces lignes de forces invisibles ont bien souvent servi à délimiter les territoires.
Les pierres ont été positionnées de manière à élever la vibration du lieu, et de diffuser une énergie favorable à la vie des personnes, des animaux et des cultures. C'est le principe de l’électroculture que nous redécouvrons aujourd'hui.
Si nous avons perdu ces connaissances, et l'usage de ces pierres, il nous est possible de les retrouver si nous acceptons de franchir le pas, et de nous ouvrir à ce que nous ne comprenons pas.
Plusieurs des ces bornes ont basculé de leur emplacement d'origine, gisant dans le ruisseau ou en bordure. Des mesures géobiologiques permettent de retrouver leur emplacement d'origine avec une grande précision afin de les replacer sur les réseaux d'origine, et en respectant l'orientation de la pierre Haut/Bas et Avant/Arrière, afin de restaurer son taux vibratoire
Détaillons-en quelques-unes :
Située au croisement de trois courants d’eau souterrains (d’intensité variable selon la pluviométrie) et sur un point étoile, c’est à dire à l’intersection des réseaux géobiologiques Hartmann et Curry
(photo décembre 2015)
Située à l’intersection d’une faille, d’un courant d’eau souterrain (d’intensité variable selon la pluviométrie) et sur un point étoile (intersection des réseaux géobiologiques H et C)
(photo novembre 2015)
Borne 22 : La Croix de pierre
Cette imposante borne gravée d’une grande croix, elle est située à l’aplomb d’un large courant d’eau souterrain, et sur un point étoile (intersection des réseaux géobiologiques H et C) (photo novembre 2015)
Située à l’aplomb du croisement de deux courants d’eau souterrains et sur un point étoile (intersection des réseaux géobiologiques H et C)
(photo janvier 2016)
L'Abbé Noirot nous raconte l'origine de ce bornage :
"En 1121, la paroisse de Saint-Aubin est dans la main de la famille princière des Courtenay, inféodée dans l'aventure des Croisades. Les donations pieuses précèdent les départs. Le monastère de L'Abbaye Notre-Dame de Fontaine-Jean consent à s'engager, sur demande du seigneur laïc, dans d'importants travaux à effectuer sur les terres domaniales.
La mise en œuvre de l'assainissement a commencé en 1147.
Les religieux s'affairent sur le plateau à purger les lieux marécageux en instaurant un enchaînement de fossés reliant des étangs aménagés selon des hauteurs diverses afin que s'écoule le surcroît d'eau jusqu'au niveau du ru qui en absorbera les inconvénients : en fait le Vrain et l'Ouanne.
Furent ainsi résorbées depuis Froville jusqu'à l'étang des Moineries, en passant par ceux des Ormes et de la forêt Gobert, de celle de Fumerault, les tourbières et les boues forestières.
Il est très probable que les bois accolés à Fourolles aient bénéficié du traitement puisqu'ils étaient lors dans la propriété des Courtenay.
Occasion fut saisie de relever par bornage les limites territoriales de la paroisse."
4 commentaires -
Par petites ruches le 11 Janvier 2016 à 20:24
Chapelle Sainte-Anne,
à Aillant sur Tholon (89)Cette jolie chapelle de l'Yonne (89), à l'ouest d'Auxerre, nous offre un site riche de découvertes géobiologiques.
La chapelle ne se visite que sur rendez-vous, mais pour les passionnés de géobiologie, beaucoup d'observations peuvent être faites depuis l'enclos.Chapelle nommée ND de Lorette sur la carte
Chapelle Saint-Félix, à Merry la vallée (89)Elle est nichée au milieu des bois, dans une très jolie clairière..
En suivant le chemin forestier, vous trouverez la fontaine Joubert.
Cette chapelle est toujours ouverte.
De nombreuses explications sont disponibles à l'intérieur.Chapelle Sainte-Reine,
à Villiers Saint-Benoît (89)C'est une jolie chapelle du XIIème siècle, remaniée au XVIIème siècle.
Un pélerinage se déroule le premier dimanche du mois de septembre à l'occasion de la Sainte Reine.
Une fontaine miraculeuse se trouvait près de la chapelle.
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Par petites ruches le 18 Janvier 2016 à 10:11
Beaucoup d'entre nous ressentent un fort appel vers la nature, ce qui reflète un besoin vital de retrouver nos origines et nos racines : terre, eau, pierres, arbres...etc
Beaucoup de sites sacrés sont régénérateurs et leur étude géobiologique nous indique que ces lieux "vibrent" et nous équilibrent, nous ressourcent, rechargent nos batteries.
Parmi nos ancêtres, hommes et femmes du Néolithique, ou encore de l'époque celte, ou gallo-romaine, ou de celle des bâtisseurs de cathédrales, nombreux étaient ceux qui avaient la connaissance de ces énergies subtiles qu’ils ont su utiliser et magnifier.
Voici un exemple :
imaginons que nous nous trouvions en présence d'une grosse pierre, de type menhir, au cours d'une promenade dans la forêt. Cette pierre a été placée là il y a plusieurs milliers d'années, au Néolithique peut-être.
La pratique de la géobiologie va nous permettre de rechercher ce qui se cache 'sous' et 'autour' de cette pierre, sans avoir besoin de la toucher.Qu'est-ce qu'on pourrait bien y trouver?
Peut-être un ou plusieurs courants d'eau souterrains...
Ah! comme le font les sourciers?
Oui, le sourcier trouve l'eau grâce à ses baguettes de noisetier.
Et on peut rechercher d'autres choses que de l'eau?
La géobiologie permet de déceler de nombreux phénomènes intéressants tels que des failles ou des cavités souterraines, et bien d'autres influences telles que les rayonnement de certains métaux en fusion au centre de la Terre (Nickel,Fer, cuivre)..., mais aussi des vortex d'énergie ou encore des liens éthériques avec d'autres lieux de la même époque.
Mais quel est l’intérêt de savoir tout ça?
Reprenons l'exemple de notre pierre : si nous constatons que plusieurs éléments se croisent juste en dessous d'elle, on peut supposer qu'elle a été placée à cet endroit il y a bien longtemps, dans un but bien précis. Le plus souvent, dans le but de contribuer à la bonne santé des populations, les animaux et les récoltes.
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Par petites ruches le 14 Février 2016 à 20:33
Des menhirs en Bourgogne,
il en existe encore, même si beaucoup ont été détruits.
Ils n'ont pas forcément la forme érigée du menhir d'Obélix.
L’appellation “menhir” désigne en réalité une pierre dressée au Néolithique, c'est à dire il y a environ 4000 ou 5000 ans. Son sommet n’est pas toujours pointu, ni sa position parfaitement verticale.
Pierres d'énergie à Vézelay
Cet assemblage de gros blocs de pierres est situé sur la commune de Vézelay, à proximité de la chapelle de la Cordelle. Il date du néolithique, puis il a été christianisé par l'implantation d'une imposante croix en son sommet (que nous avons fait disparaître sur la photo). Plusieurs courants d'eau souterrains se croisent à cet endroit précis, ainsi que deux forts réseaux H. Le point est particulièrement énergétique. Plusieurs bassins ou cuvettes, naturelles ou creusées par l'homme sont visibles, sur chacune de ces pierres.
La vidéo ci dessous montre comment s'effectue la recherche des courants d'eau souterrains à l'aplomb d'une pierre.
Menhir à St Moré >
< Menhir d'Aillant sur Tholon
Nous avons prospecté longuement pour dénicher cette pierre, cachée au milieu des buissons de cornouillers, qui aujourd'hui ont été taillés.Une dame avait bien voulu nous renseigner, en ajoutant avec une moue dubitative : "ils disent que c'est un menhir! Mais ce n'est rien qu'un gros caillou!"
Quand nous l'avons approchée, nous avons ressenti qu'il était plus qu'un simple caillou, et que nous étions en présence d'une véritable pierre levée, même si sa stature était modeste.
L'analyse que nous en avons faite nous en a apporté la confirmation. Les phénomènes caractéristiques d'un positionnement originel étaient réunis révélant la convergence de nombreux réseaux magnétiques.La Pierre qui danse - Yonne
De nombreuses légendes circulent au sujet de ces pierres, autrefois vénérées : elles racontent souvent que ces pierres sont douées de pouvoirs de guérisons.
Derrière la légende quelle est la part de réalité?
Nous observons que les menhirs sont toujours placés au dessus de flux vibratoires des métaux contenus dans la masse terrestre. Il ne s'agit pas de n'importe quels métaux, mais particulièrement de ceux qui sont très dynamiques et procurent des bienfaits par leur émission. Le tellurisme peut être fortement positif et contribuer à notre bien-être.Le plus grand menhir connu de l’Yonne, la « Pierre Fitte » de Sépeaux, (qui a disparu vers 1920) mesurait plus de 4 mètres!
Le superbe menhir de Vaumort (89),
d'une hauteur de 3 mètresMenhir de Villeneuve sur Yonne (89) dit la Pierre Aigue
Quelques Menhirs dans le Morvan
6 commentaires -
Par petites ruches le 8 Décembre 2016 à 09:34
Ci-desus, dans le Pilat, Marlin, site remarquable présentant de nombreux mégalithes
Gard : Un dolmen
Dans le Gard, près de Lussan
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