• Alain et Céline : Présentation

    Alain : J'ai acquis mes premières connaissances en géobiologie dès le début des années 1980.
    J'étais alors agriculteur-éleveur bio dans le Jura. J'ai eu alors l'occasion de rencontrer le célèbre docteur vétérinaire Henry Quiquandon, pionnier de la géobiologie, et de le côtoyer lors de visites de terrain.
    Le Syndicat des Agrobiologistes du Jura (dont j'étais alors président) l'avait invité plusieurs fois lors de visites de fermes et d'élevages bio. Les visites étaient ouv
    ertes au plus grand nombre, afin de sensibiliser le public à ces questions.
    Le vétérinaire inspectait l'organisation générale de la ferme (bâtim
    ents, environnement, lignes électriques...), écoutait les problèmes concernant l'état de santé du bétail, les bons ou mauvais emplacements des vaches, et parfois le fermier l'invitait même à analyser son habitation.
    A la suite de quoi il rendait son diagnostic bien utile à tous.
    Je me souviens encore avec amusement qu'il avait un jour déplacé le lit d'un viticulteur en diagonale au milieu de la chambre! Je vous laisse deviner la ré
    action... L'histoire ne dit pas si le lit est resté là ou s'il a été replacé à l'endroit i
    nitial...
    Alain Richard
    A cette époque, avec quelques amis passionnés de géobiologie
    Alain Richard Géobiologie, nous nous réunissions de temps en temps pour partager nos expériences et nos connaissances dans ce domaine.

    A partir de 1986 j'ai construit ma ferme, puis un éco-hameau (Le Biolopin) en prenant en compte les données élémentaires de la géobiologie (emplacement et choix des matériaux).
    Cela m'a condu
    it vers une activité d'éco-construction et d'encadrement de chantiers participatifs de maisons en bois, paille et bois cordé.

    En 2006 j'ai suivi une formation en Géobiologie et Radiesthésie auprès de Jean-Paul Leclerc pour aller un peu plus loin dans ce domaine.
    En 2012 j'ai rencontré Céline, ce qui m'a conduit à encadrer les premiers stages avec l'association des Petites Ruches.

    En 2014 j'ai acquis les deux premiers niveaux de Reïki auprès de Francis Gerbeau, géobiologue dans le sénonnais. Les connaissances et les capacités acquises par la pratique du reïki me sont très utiles en géobiologie.  En 2017, j'ai franchi une étape supplémentaire en suivant une formation avec Hervé (École Oviloroi), une approche nouvelle de la géobiologie sans outils de détection, avec la mesure du biochamp.
    J'aime aujourd'hui transmettre et communiquer ce savo
    ir. J'ai envie de faire toucher du doigt l'importance et la richesse des phénomènes invisibles, la magie de la vie, et de susciter par là-même l'émerveillement.

    Comment "Aller plus loin" en géobiologie? ce n'est pas "connaître théoriquement" les choses sur les différents phénomènes, mais c'est développer ses capacités de ressenti, d'analyse. Un maître n'est pas quelqu'un qui connaît beaucoup de choses, mais quelqu'un qui expérimente patiemment. Expérimenter ce que nous découvrons lors d'un stage rose (bleu ou indigo) est déjà tout un travail! Alain Richard, Céline Locqueville

    Céline : J'ai fait mes premiers pas en géobio en 2015. Cartésienne de par mon éducation scientifique, je me suis avancée à pas menus au début. Et ce qui m'a permis de m'aventurer plus loin, ce sont les abeilles! Je me suis passionnée pour la géobiologie grâce aux abeilles, mes merveilleuses amies ailées! J'ai écrit le livre Ruches Refuges en 2020, où je décris les emplacements de nids d'abeilles mellifères sauvages, dans les arbres et les murs des églises. J'ai compris que leur vitalité tenait en tout premier lieu de leur emplacement énergétique, des phénomènes géobiologiques de ces points précis, que les abeilles recherchent. J'ai entraîné Alain sur les chemins de montagne, en Ardèche et jusqu'en Espagne, pour aller étudier les anciens ruchers. J'avais lu ce que Yann Lipnick écrivait alors sur ce sujet, et je souhaitais aller plus loin, vérifier par moi même.
    Aujourd'hui, lorsque je place un ruche "au bon endroit", et qu'un essaim vient s'y loger tout seul, je suis tellement heureuse! Cela me conforte, me rassure, m'encourage à poursuivre dans cette quête. Et surtout, cela me donne envie de transmettre ces savoirs oubliés. Car oui, les anciens savaient tout cela, mais ils le transmettaient de façon orale, et le monde d'aujourd'hui, après l'avoir égarée, est en train de redécouvrir cette connaissance.

    Ce qui me passionne aujourd'hui, c'est la géobiologie sacrée, et en particulier l'observation des chapiteaux romans qui recèlent tant de messages des bâtisseurs. Beaucoup d'enseignement sont à la vue de tout un chacun, dans les chapelles romanes du 11ième ou 12ième siècle. J'aime aussi beaucoup découvrir les sites mégalithiques, cromlech, menhirs et dolmens.

    Enfin, depuis 2015 j'ai commencé à faire des vidéos pour communiquer mes passions. C'est devenus très important pour moi. Dès que je me passionne pour quelque chose j'ai envie de le donner à voir pour que d'autres puissent le découvrir à leur tour, s'émerveiller et continuer la chaîne de la transmission. Car, oui, l'heure est venue de réenchanter le monde!

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  • Commentaires

    1
    Lydia
    Dimanche 17 Septembre 2023 à 15:13
    Bonjour monsieur Je serais intéressée par un stage en geobiologie et je désirerais connaître les futures dates de vos sessions. Je vous remercie d'avance pour votre réponse Lydia
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