• Nous voici en expédition à Vézelay, dans l'Yonne, sur la célèbre colline éternelle du scorpion. Nous voulions en savoir davantage sur les courants telluriques qui serpentent sur ce mont. Le courant tellurique est un courant d'énergie toujours positive qui provient des entrailles de la Terre, qui était connu et ressenti par les hommes des millénaires passés, et sur lequel ils ont positionné des lieux de culte, fontaines, temples, dolmens et menhir. Avec un grand bonheur nous avons croisé les écrits d'Henri Vincenot avec nos recherches de terrain.
    Cerise sur le gâteau, les abeilles nous attendaient, de belles colonies sauvages installées dans le mur de la basilique!

    Eh oui, la colline de Vézelay est parcourue par de nombreux courants telluriques, ce sont eux que Vincenot appelle la Vouivre, souvent représentée par un serpent. Nous avons suivi l'un d'entre eux, qui arrive au nord de la colline de Vézelay, passe à la Cordelle, où? Exactement sous l'énorme pierre mégalithique qui est un empilement de gros blocs de rochers mis en place au néolithique! Quelle surprise. Ces blocs ne sont pas récents (quoi qu'on puisse lire ici ou là sur internet...). Justement on les voit sur une miniature du Moyen-Age, accompagnés de nombreux autre blocs qui jalonnais le chemin vers la basilique.Les pierres mégalithiques de la Cordelle à Vézelay. Miniature médiévale représentant Vézelay en 1146

    Étant donné que ces pierres étaient des éléments vénérés lors d'anciens rites païens, elles ont été détruites, (sauf celle, rescapée, qui se trouve à la Cordelle mais qui fut christianisée et affublée d'une gigantesque croix) (voir la vidéo).

     

    Celui qui sait que les courant telluriques se rechargent sur les pierres (menhir et dolmens) comprendra que l'implantation de cette succession de blocs, ce collier de grosses pierres déroulé le loPierre mégalithique de la Cordelleng du chemin, servait à capter toute l'énergie possible avant que le courant ne vienne la déposer sur le lieu de culte primitif situé en haut de la colline, aujourd'hui remplacé par la basilique.

    Ce qui est d'autant plus remarquable est que ce bloc de rocher est situé exactement sur une faille Nord-sud et sur le croisement de plusieurs courants d'eau. (voir le croquis sur la vidéo).

    Si nous suivons le courant tellurique, il nous conduit sur le haut de la colline, devant le mur nord de la basilique. Il bifurque vers l'est avant de traverser la basilique en traversant la crypte et tous les bâtiments qui sont dans le prolongement. Les bâtisseurs des édifices sacrés étaient des initiés et savaient comment capter l'énergie de ces courants pour faire rayonner les édifices. C'est ce que Vincenot raconte de façon imagée lorsque Vincenot, dans "le Pape des escargots", parle de "captation" et de "dolmen perfectionné".

    Notre courant tellurique ne s'arrête pas en si bon chemin, nous allons le suivre et découvrir son parcours dans la vallée de Saint Père sous Vézelay. Avec nos baguettes de sourcier nous l'avons retrouvé traversant l'église de Saint-Père avant de rejoindre le site mythique des "Fontaines Salées". En effet, ce site était lui aussi occupé depuis l'époque néolithique, comme en attestent les fouilles qui ont mis à jour dans les années 50/60 un puits sacré qui faisait l'objet d'un culte pour ses vertus guérisseuses. Et nous retrouvons le courant tellurique ici... (cela fera l'objet de l'épisode 5)


    votre commentaire
  • Quelques allées couvertes en Bretagne (Trégor)alée couverte de l'île grande - TrégorEmplacement des allées couvertes décrites dans la vidéoAllée couverte de l'ïle Milliau

    En décembre 2021 nous sommes allés à la rencontre de quelques allées couvertes du Trégor (Région de Trégastel, au Nord de Lannion). J'ai noté en rouge sur la carte celles que nous avons visitées, et que nous avons montrées dans la vidéo en dessous. Île Milliau, Île Grande, Prajou Menhir, Kerguntuil). Il en existe beaucoup d'autres, qui méritent d'être approchées, et peut-être aurons-nous un jour cette chance.
    Ce qui nou
    s intéresse, c'est de découvrir sur quels réseaux énergétiques de la Terre les bâtisseurs se sont accrochés pour ancrer ces constructions. Elle ne sont pas posées au hasard dans le paysage, comme nous poserions une table de pique-nique. Mais alors? Quels sont les critères? Pourquoi sont-elles construites à ces endroits précis et pas ailleurs? Selon quelles règles? Nous avons envie d'apprendre de nouvelles choses à ce sujet, et c'est possible car les pierres parlent! les mégalithes nous enseignent, tels des livres ouverts.

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     

    • Allée couverte de l'Île Grande

     

    Réseaux géobiologie Ile Grande TrégorIle grande décembre 2022

    Sur le plan de l'allée couverte de l’Île Grande, on distingue le courant d'eau principal qui arrose l'axe est-ouest de l'allée couverte. Il est coupé perpendiculairement par trois autres courants moins larges, remarquons que le plus à l'est barre l'entrée au couloir de l'allée couverte, et que le plus à l'ouest circule sous la pierre-'autel', la pierre du fond. Le troisième courant passe à la jonction des deux tables qui recouvrent l'allée. (nous n'avons pas eu le temps de chercher les profondeurs de ces cours d'eau)
     

    Allée couverte de l'Île Milliau

    Plan de l'île Milliau et réseaux géobiologiquesAllée couverte de l'île Milliau

    Le plan de l'allée couverte de l’Île Milliau ressemble beaucoup au précédent. On distingue le courant d'eau principal qui arrose l'axe est-ouest de l'allée couverte. Il est coupé perpendiculairement par trois autres courants moins larges, remarquons que le plus à l'ouest barre l'entrée au couloir de l'allée couverte, et que le plus à l'ouest circule sous la partie écroulée de l'allée. Le troisième courant passe à la jonction de deux tables qui recouvrent l'allée. Cette allée est incomplète, puisqu'il manque des pierres et qu'une partie est écroulée.

     

    Observations

    Une constante à toutes ces allées couvertes : un courant d’eau souterrain couplé d’une faille parcourt l’allée couverte tout le long de son couloir central. D’autres la traversent perpendiculairement à différents endroits, et, dans tous les cas, à l’entrée et tout au fond. Un courant tellurique accompagne ce dispositif, ce qui nous indique une énergie positive.

    Orientation : Une autre observation nous a frappé : l’allée couverte est orientée par rapport au soleil, levers aux solstices, aux équinoxes ou à d’autres dates qui correspondent, on peut le supposer, à des fêtes celtes ou caractéristiques du lieu. L’allée couverte de l’île Milliau en est un bel exemple : complétée à une vingtaine de mètres de part et d’autre par un petit menhir, exactement dans son axe, elle indique le lever du soleil au solstice d’hiver et son coucher (de l’autre côté) au solstice d’été. Énergétiquement les trois éléments forment une unité.

    Fonction : thérapeutique et cultuelle : nos ressentis dans ces lieux, nos impressions, sont du bien-être, de la sérénité, ressentis partagés par d’autres visiteurs attentionnés rencontrés là. Ajoutées à cela, les analyses géobiologiques que nous avons faites nous confirment que ces constructions étaient des lieux d’énergie, lieux de cultes et de rituels, et même de soins. En effet un creux dans un orthostate (dalle de support) a attiré notre attention, et notre cadran a indiqué une fonction thérapeutique. Jacques Bonvin, dans son livre ‘’Mégalithes, lieux d’énergie’’ dit même que dans une allée couverte chaque dalle peut receler une fonction thérapeutique spécifique. Nous n’avions pas le temps de faire toutes les analyses des réseaux et de chaque dalle pour identifier sa fonction.

    Pour les spécialistes, les mesures d'émissions de forme sur le cadran de Bélizal que nous avons faites dans certaines allées couvertes nous ont donné du jaune magnétique, significatif des anciennes églises.

    Sépultures? Les allées couvertes ont parfois été utlisées comme sépultures, comme c'est le cas dans les églises, où sont enterrées des personnes d’un certain rang. Mais une allée couverte n'a pas les attributs d'une sépulture.

    La fonction de sépulture se trouve dans certains dolmens, qu’on appelle des dolmens-tombeaux. Nous en avons rencontré un, proche de l'allée couverte de Kerguntuil, sa vibration négative est palpable et en accord avec la fonction recherchée par les bâtisseurs.
    Dolmen-église : Henri Vincenot ne dit-il pas dans ‘’Le pape des escargots’’ que « l’église est un dolmen perfectionné »? Les allées couvertes que nous avons visitées nous ont toutes révélé un taux vibratoire suffisamment élevé pour confirmer ces fonctions cultuelles.
    Jacques Bonvin dit qu’elles n’étaient pas destinées à accueillir le peuple de fidèles, comme c’est le cas dans les églises, mais seulement des initiés, qui, par leurs rituels, nourrissaient la terre et l’environnement de bonnes énergies, pour le bien de tous les êtres vivants.

    Sculptures
    L’allée couverte de Kerguntuil, recèle des petites sculptures en bas relief, qui symbolisent les seins de la Déesse. On retrouve les mêmes à Prajou-menhir, et bien davantage : des figures en carré qui représentent la Déesse, d’après les recherches que nous avons faites.

     

    Kerguntuil, île Renotte, île Grande, île Milliau, Prajou-menhir et tant d’autres… voilà qui nous interroge sur la culture des peuples qui ont séjourné là, sur les effets que produisait cet ensemble de mégalithes (car il y a aussi des menhirs), lorsqu’ils étaient entiers, honorés, utilisés et au mieux de leur potentiel.

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Rocamadour et la Vierge Noire 

    (Département du Lot 46)

     

    Rocamadour est l’un des sites les plus visités en France. Le touriste découvre un paysage hors du commun, avec ses chapelles et sanctuaires accrochés à la falaise. Du haut le panorama est magnifique. En bas, de petites boutiques en tous genre occupent l’essentiel de la rue principale de la Cité Médiévale.

    Et le géobiologue, et le pèlerin, que peuvent-ils trouver là ? Rocamadour

    Rocamadour est une étape marquante du chemin de Compostelle. Nous pressentons, voire nous ressentons une énergie et une ambiance particulières. Mieux vaut pour cela parcourir l’endroit hors de la saison d’été, pour avoir le maximum de tranquillité et d’espace pour y accueillir le meilleur de ce qui nous est offert là, et y donner aussi de nous même. Un lieu sacré, un lieu d’énergie est en effet d’autant plus vivant que nous le nourrissons aussi nous même, de notre gratitude et de notre émerveillement : donner et recevoir.

    Un livre entier peut être écrit sur ce site et tout ce qui le compose. Une belle vidéo de l’alchimiste Patrick Burensteinas nous fait visiter virtuellement le site d’une façon délicieuse.

    Développons ici dans cette rubrique un seul thème  : la Vierge Noire.

    Pour accéder à la petite chapelle où elle trône, nous devons gravir un grand nombre de marche si nous venons du bas, ou bien, depuis le haut, descendre un long sentier en zig-zag sur lequel l’Église a installé un chemin de croix. Quand nous entrons dans cette chapelle, assez peu éclairée, nous pouvons être étonnés du nombre impressionnant d’ex-votos, dont beaucoup sont liés aux marins et à la mer.

    Vierge Noire de Rocamadour

    Un panneau nous dit que la cloche sonnait chaque fois qu’un marin était en difficulté.

    La Vierge Noire est donc là, au-dessus de l’autel. Au pendule et aux baguettes le courant tellurique résonne fort. Jacques Bonvin, dans son livre Vierges Noires, nous dit que la vierge noire indique un croisement important d’artères telluriques. Et P. Burensteinas parle de deux lignes du monde qui se croisent à Rocamadour. C’est la vouivre de Vincenot, ou le Nwywre des druides, qui est bien là : ce courant tellurique qui parcourt la planète pour l’arroser d’énergie, le ‘’sang de la terre’’ qui, comme le réseau sanguin dans notre corps, distribue l’énergie vitale depuis les plus grosses artères jusqu’aux plus petits vaisseaux.

    Les statues de vierges noires sont présentes dans nombre d’églises. Un rituel consistait jadis à descendre la statue dans la crypte pendant la saison d’hiver et de la remonter dans l’église du printemps à l’automne. Cela manifestait la période de repos des énergies, symbolisait un temps d’introspection quand les jours sont courts et la lumière faible, et un autre temps, d’expression, d’épanouissement, d’extériorisation avec l’énergie du soleil. Nous pouvons parler de phases ‘’lunaire-solaire’’ ou ‘’féminine-masculine’’.

    Pour terminer voici ce qu’en dit Jacques Bonvin dans Vierges Noires, aux éditions Dervy :

    « On trouve une importante tradition celtique avec la permanence d’un culte à la Déesse-Mère, à Rocamadour « le val ténébreux ». C’est Cybèle puis Vénus qui y furent honorés avant la venue de la Vierge Noire. Sous l’influence de St-Sernin, les cultes à la Déesse-Mère se transformèrent en culte à la Vierge Marie, qui se concrétisèrent au XIIe siècle dans les pèlerinages à la Vierge Noire. Sous l’influence de l’abbaye de Cluny, Rocamadour devint vite un centre important de pèlerinage, étape indispensable sur le Chemin de Compostelle. La tradition prétend que la statue de la Vierge Noire a bien sûr été taillée par saint Amadour lui-même.»

     


    2 commentaires
  • L’horloge des Hermes,

    à L’Argentière la Bessée (Hautes-Alpes 05)

    Horloge des Hermes

     

    1/ Présentation

    C’est une tour carrée qui domine la petite ville de l’Argentière, avec un grand cadran sur chaque face. Construite il y a un siècle, son but affiché était de donner l’heure à tous les travailleurs des mines d’argent, afin qu’ils soient ponctuels.

     

     

    2/ Ne serait-elle qu’une simple horloge ? Ou pourrait-elle être placée sur un point d’énergie ?

    Je décide de m’y intéresser avec une approche géobiologique. Avec mes baguettes dans mon sac j’aborde l’endroit par son côté le plus abrupt en escaladant un pan de rocher.

    courants d'eau

    Arrivé auprès d’elle je cherche le premier indice : y a-t-il des courants d’eau souterrains qui la traversent ? Stupéfaction, émerveillement, ma baguette de coudrier se lève à chaque angle de la tour, indiquant la présence des courants d’eau souterrains, comme on le voit sur ce croquis.

     

    Réseaux NickelQu’en est-il des autres phénomènes ? Vont-ils me surprendre aussi ? Eh oui ! Je trouve une ligne du nickel (réseau Hartmann) de niveau 3 + dans le sens nord-sud, de la largeur de la tour ! Un tel réseau géomagnétique ne se rencontre que tous les 200 mètres environ. Il était connu des bâtisseurs et recherché pour l’implantation de leurs constructions, pour son énergie particulièrement positive et son ampleur.

    Voilà une tour qui prend une autre couleur à mes yeux, et qui commence à susciter beaucoup de questionnements.

    Dans le sens Est-Ouest un nickel plus petit, de niveau 2 + tout de même, traverse en son milieu la tour.

    Réseaux du ferPour que cet ouvrage fonctionne comme un grand menhir, il lui manque encore la présence du réseau du fer (Curry). Un nouveau parcours avec les baguettes vient confirmer ce que je pressens :

    il se croise dans chaque angle de la tour, exactement superposé à l’eau.

     

     

    La tour m’apparaît alors comme un grand menhir qui rayonne son énergie sur la ville, car en son centre se croisent les éléments constitutifs indispensables à cela. C’est ce qu’on appelle un point menhir, point acupuncture de la terre. Chacun des quatre contrefort renforce l’effet et agit comme un petit menhir !

     

    D’autres phénomènes énergétiques enrichissent encore ce site. Certains sont présentés dans la vidéo : courant tellurique et vortex.

    Au retour de ma promenade, avec curiosité et enthousiasme je cherche à en savoir plus sur l’historique de cette tour, persuadé que sur internet je découvrirai certainement qu’elle fut érigée sur les ruines d’un bâtiment sacré, temple, chapelle ou sanctuaire. Cela expliquerait alors que ce bâtiment relativement récent (1922) possède toutes ces caractéristiques, qui sont habituellement la signature des bâtisseurs des temps antiques, connaissances quasiment absentes dans l’architecture d’aujourd’hui. Mais non ! Cette tour aurait été implantée, dit-on, sur une « éminence stérile (hermes en langue d’Oc) »  et n’aurait donc pas pu bénéficier de l’héritage énergétique d’une construction antérieure. Une recherche sur les anciens cadastres n’ayant rien donné, j’ai finalement effectué une recherche au pendule (radiesthésie), qui m’a indiqué, à cet endroit, la présence d’un gros bloc de roche, d’environ 70 cm de diamètre et de 30 cm de haut, reste d’un ancien menhir. On sait que ces pierres sacrées ont été retirées en presque totalité entre le IVe et le VIIIe siècle par l’Église qui les considérait comme païennes.

    Nous savons que, dans la région et ailleurs, des pierres levées jalonnaient les chemins de pèlerinage tels que St Jacques de Compostelle ou St Laurent. À la place d’un certain nombre d’entre elles ont été érigées des croix, oratoires, petites chapelles, etc. On en trouve encore des traces à quelques kilomètres de là où les croix historiques du Vallon et des Résinières jalonnent le fameux pèlerinage de St-Laurent.

    Nous constatons avec surprise et plaisir que la tour des Hermes se trouve précisément sur le tracé du chemin de St-Jacques, chemin millénaire et sacré de déplacement des hommes. Il est tout à fait possible qu’un vestige de pierre ait guidé le choix de l’emplacement de la tour.

    3/ Les liens avec la chapelle St-Jean et l’église St-Apollinaire.

    Chapelle St Jean - L'Argentière 05Nous entrons là dans un autre sujet, celui de la géométrie sacrée, qui établit des liens entre différents édifices. Georges Prat, Gilbert Le Cossec, Howard Crowhurst, Stéphane Cardinaux, Quentin Leplat, Éric Charpentier… se sont particulièrement penchés sur cette approche.

    Leurs travaux sont inspirants et je vous propose de nous intéresser à d’autres constructions proches de cette tour, et particulièrement à la chapelle St-Jean, au sud de l’Argentière.

    Horloge et ChapelleRegardons alors comment sont placés ces deux sites. Surprise : la tour de l’horloge et la chapelle St-Jean sont parfaitement placées sur une ligne nord-sud.

     

    Chapelle - églisePoursuivons ensemble nos recherches, et intéressons nous à l’église St-Apollinaire, à l’ouest. Surprise encore : celle-ci est parfaitement alignée avec la chapelle St-Jean dans le sens est-ouest.

     

     

     

    triangleDe la sorte ces trois édifices forment un triangle avec un angle droit sur la chapelle St-Jean.

     Des études plus poussées de la géométrie entre différents lieux d’énergie restent à être conduites. Eric Charpentier a eu l’amabilité de nous donner ses éclairages : 571,54 est l’expression de la 7ème partie du méridien de la Terre. La circonférence de la Terre par les pôles mesure en effet 40 007 864 mètres et divisé par 7, cela donne 5 715 409 mètres.

    C’est la mesure entre le clocher de la chapelle St Jean et celui de l’horloge des Hermes … Entre le clocher de la chapelle St Jean et celui de l’église Saint Apollinaire (lieu de soins ?), je relève 408 mètres. Donc le rapport 571 / 408 = 1,4, soit exactement le rapport 7/5 qui est la première approximation de racine carrée de 2… C’est donc une très belle géométrie naturelle, comme vous l’avez montré avec le réseau Hartmann de niveau 3.

    Voilà une analyse de l’Horloge des Hermes qui nous emmène bien au-delà des cadrans qui donnent l’heure pour qui lève les yeux vers elle. Il est question ici de l’hypothèse d’une machine énergétique, qui aurait, à l’insu de tous, des effets bienfaisants sur les organismes (humains animaux, végétaux) vivant dans son environnement.

    Des questionnements en découlent alors d’emblée : Par qui et pourquoi ?

    Qui donc, parmi les personnes qui ont ordonné, conçu et construit cette tour, avait la Connaissance des bâtisseurs ?

    Quels buts réels ont animés ses commanditaires ? Avaient-ils envie de soutenir un peu les travailleurs des mines et plus largement les habitants du bourg de l’Argentière, durement impactés par la pollution créée et les dures conditions de travail ? Ou alors ont-ils fait simplement un ré-emploi énergétique de ce point menhir (élevée à seulement quelques mètres de là elle ne fonctionnerait pas)?

    Aujourd’hui, un siècle après sa construction, l’essentiel n’est peut-être pas de refaire l’histoire, mais simplement de regarder l’Horloge des Hermes avec un autre regard et une autre conscience, et de bénéficier de son énergie.

     

     

     


    1 commentaire
  • Ruche en bois cordé placée sur un bon couloir à abeilles

    La ruche est placée sur des réseaux géomagnétiques favorables aux abeilles, les fameux "Couloirs à abeilles". Alain montre cet emplacement avec les baguettes (lobe-antenne).  Le site des Petites Ruches : https://petitesruches.fr


    votre commentaire